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In the interlocking Tales of the Dying Earth Vance explores the world at the end of time when sun is guttering. Light itself is different and Vance’s landscapes —described in language that is lyrical, seductive, and partly self-invented —are wild and surreal, full of opportunity and danger. On the Dying Earth, the rules of physics as we know them have been amended and replaced by magic. The laws of evolution have spun out creatures that are humanoid, hybrid, and often terrifying.

Le beau pays de Lyonesse ne suffit pas au roi Casmir : il veut régner sur toutes les Isles Anciennes, ce qui l'oblige à vaincre son rival Audry, roi de Dahaut. Une histoire fourmillant de malice et merveilles, hantée par la superbe et mélancolique figure de Suldrun, princesse à la beauté mélancolique, désirée par tous.

Il régnait alors, sur les terres des Isles Anciennes, chaos et infortune. Aillas de Troicinet, désormais roi de l'Ulfland du Sud, devait guerroyer contre les Skas, qui jadis l'avaient réduit en esclavage, et contre l'ambition du roi Casmir, qui rêvait toujours d'étendre son empire au-delà de Lyonesse.

Les Isles Anciennes : une contrée magique et dangereuse, où sagesse et vertu devaient sans cesse en découdre face à la sorcellerie malfaisante des immortelles forces des ténèbres. La paix précaire qui s'y était établie menaçait de prendre fin, sous le poids toujours croissant des rivalités entre l'infâme roi Casmir et Aillas, souverain de Troicinet. Et, dans ces bruits de guerre et de souffrance, Madouc, la jeune et malicieuse princesse réputée fille de Suldrun, détenait à son insu le secret de l'ultime victoire.

Alors qu'il effectuait une mission de reconnaissance autour de la planète Tschaï, le vaisseau Explorateur IV a été abattu par un missile d'origine inconnue. Unique survivant du crash, Adam Reith découvre un monde d'une beauté et d'une âpreté sans pareilles, une terre d'aventures aussi dangereuse qu'attachante. Obsédé par l'idée de rentrer chez lui, le Terrien va traverser d'immenses et splendides paysages, rencontrer d'autres humains aux moeurs baroques et des extraterrestres belliqueux, vivre mille péripéties, perdre ses certitudes et trouver l'amitié.

The stories in The Dying Earth introduce dozens of seekers of wisom and beauty, lovely lost women, wizards of every shade of eccentricity with their runic amulets and spells. We meet the melancholy deodands, who feed on human flesh and the twk-men, who ride dragonflies and trade information for salt. There are monsters and demons. Each being is morally ambiguous: The evil are charming, the good are dangerous. All are at home.