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L'apôtre Jean a eu un contact direct avec la vérité et l'amour, puisqu'il a vécu avec Jésus.

Nous vivons dans une société où on nous demande en permanence d'être performant : pendant notre scolarité, notre vie professionnelle et même pendant nos loisirs. Or, nous sommes très peu préparés à ce monde de compétitions. Notre personnalité, notre culture, notre affectif ont créé des obstacles qui diminuent notre efficacité et bloquent nos capacités. Cette méthode performante, accessible et applicable immédiatement vous permettra de modifier votre comportement face à l'échec et vous fera adopter une attitude positive dans toutes les circonstances de la vie. Elle débloquera les verrous, qui bien souvent entravent vos actions et vos initiatives pour réussir dans la plupart de vos entreprises.

La lettre de Jean concerne trois hommes en particulier : d'abord Gaïus, l'exemple du disciple de Jésus qui aime son prochain (1-8)...

Cette lettre a été écrite pour dissiper tout doute et fonder notre assurance en nous présentant une image claire de Christ. En entrant dans l'histoire, Jésus était et reste Dieu fait homme, Dieu offert à notre regard, vu, entendu et touché par l'apôtre Jean, l'auteur de cette lettre. Celui-ci a accompagné Jésus et lui a parlé. Il l'a vu guérir des malades, l'a entendu enseigner, l'a vu mourir, l'a rencontré ressuscité et a assisté à son ascension.

Dans le conte traditionnel, le loup est vu comme un personnage cruel. Il est là pour faire peur et terroriser ses futures proies. En effet, il se régale des enfants égarés, des grands-mères, mais aussi des animaux plus faibles que lui... C'est pourquoi La Fontaine, les frères Grimm, Charles Perrault et beaucoup d'auteurs entretiennent cette légende terrifiante.

Nous sommes habités par plus grand que nous-mêmes, mais nous n'en sommes pas conscients. Nous sommes pour ainsi dire endormis, emprisonnés dans le sommeil de l'insouciance ou de l'habitude. Nous avons besoin de nous éveiller aux réalités de la vie intérieure et de la foi, de décaper le verni de l'accoutumance qui les recouvre pour dynamiser et densifier notre vie, pour expérimenter à quel point elle est belle et à quel point elle est pleine de sens. L'enseignement des jésuites à la portée de tous.

Jean révèle l'identité de Jésus dès les premiers mots de son Evangile : "Au commencement, la Parole existait déjà.

L'ancien Père Abbé de Ligugé propose ici une approche dynamique du mystère de la Trinité. Il l'introduit par différents aspects touchant à la rencontre du Christ à la fois comme un phénomène lié à notre humanité, mais aussi comme expérience de la Parole de Dieu, de la liturgie, des sacrements et de la communion ecclésiale. Il montre qu'une telle rencontre se vit dans la force de l'Esprit divin : pour cela il revisite la vision de l'homme selon la Bible et la place qu'y tient l'Esprit saint.

L'Apocalypse est un livre d'espérance : Jean, le disciple bien-aimé témoin oculaire du ministère de Jésus, y proclame la certitude que son Seigneur victorieux reviendra pour défendre les justes et juger les méchants.

C'est Cécile de Brunhoff qui est à l'origine de "Babar". Elle a coutume de raconter à ses deux fils les aventures d'un petit éléphant "Babar" qui, après la mort de sa mère, s'enfuit pour échapper aux chasseurs et arrive à Paris et se lie d'amitié avec une vieille dame.

Des origines à nos jours à travers légendes et histoire, l'abbaye royale se dévoile : la fondation par un ermite hors du commun, la direction d'un ordre double par trente-six abbesses dont la dernière sera congédiée par la tourmente révolutionnaire, la mutation du lieu en prison centrale puis sa restauration et sa résurrection en centre culturel.

"La Guerre de Troie n'aura pas lieu" a été créée en 1935, par les soins de Louis Jouvet. Après Siegfried, elle s'affirma - son succès en a témoigné - comme une des rares œuvres maîtresses du répertoire français contemporain à aborder un des grands problèmes politiques du temps. Jean Vilar l'a montée en 1962, pour le Festival d'Avignon, et l'a reprise au Théâtre National Populaire (TNP) en 1963.

Cet audio est constitué de 10 textes interprétés par Roger Pierre et Jean-Marc Thibault.

Seule comédie au milieu de la série des onze tragédies raciniennes, cette œuvre a toujours été considérée comme une pièce à part, une réussite isolée difficile à classer. Certains manuels d'histoire littéraire n'en font même pas mention : comment l'insérer dans un chapitre bien ordonné sur la "vocation tragique de Racine" ? Comme chez Aristophane qui l'inspira, caractères et faits sont poussés au-delà du vraisemblable.

Le soir. Une laverie automatique, le propriétaire s’apprête à fermer. Entre alors un homme et la conversation s’installe. Une laverie ! Drôle d’endroit pour une drôle de rencontre. En effet, tout oppose ces deux hommes : l’un âgé, l’autre jeune, l’un spécialiste du blanc et des couleurs, l’autre regardant une machine à laver comme une poule regarde un couteau, l’un rationnel et concret, l’autre chien fou et rêveur. S’installe alors entre les deux une joute oratoire décapante où chacun "vide son sac".

Dans "L'illusion chronique", Jean-Paul Farré choisit l'année 1685, comme la nouvelle année zéro à partir de laquelle commence l'histoire avec un grand H. L'année 1685, c'est entre outre la révocation de l'Edit de Nantes et la naissance de Jean-Sébastien Bach. Cette exploration des dates prend fin en 1895, année du cinématographe, art de l'illusion par excellence. 1685... 1895, 210 ans d'Histoire ou 76 650 jours, plus 51 vingt-neuf février, soit un total de 76 701 fois vingt-quatre heures... A vous de suivre.

Entre mythe et réalité, le monde souterrain saumurois étonne par sa richesse, sa diversité, son mystère. Ce patrimoine fragile fut abandonné puis oublié jusqu'à ce que des passionnés lui apportent une véritable renaissance. Dans l'univers insolite des galeries d'extraction ouvertes par les perreyeurs, des caves et habitations troglodytiques de Saumur et sa région, suivez quelques habitants des lieux et quelques spécialistes choisis, jusqu’à l'étrange rencontre de la noble confrérie des Amateux et Respectueux du Monde Souterrain.

Economiste néo-keynésien, Jean-Paul Fitoussi fustige la résignation devant les oukases du marché pour en appeler au volontarisme des Etats.

Réalisés en 1951, ces entretiens de Paul Claudel avec Jean Amrouche sont précieux. Car, mieux qu'un livre, ils sont la vie même. Claudel revoit toute sa destinée : son enfance, sa famille, sa sœur Camille au génie si déroutant, son éducation imprégnée du "matérialisme du scientisme de l'époque", la révélation de la Foi chrétienne, un soir de Noël 1886 à Notre Dame... C'est non seulement un destin qui se déroule sous nos yeux, mais c'est aussi une pensée active.

Malgré les violences de la guerre, le monde a été frappé de stupeur, en 1945, en découvrant l'ampleur des destructions d'Hiroshima et Nagasaki. On n'en finit plus de compter les victimes directes et indirectes - souffrant des radiations et développant à long terme des maladies cancéreuses. On dit qu'un des technicien d'Oppenheimer, le "père" de la première bombe américaine tirée le 16 juillet 1945, aurait dit que l'équipe réalisant le premier essai pouvait se prendre pour la Mort elle-même, mais que sitôt le tir effectué, il aurait ajouté "nous sommes tous des fils de putes"... Sentiment d'ivresse et de stupeur qui ne manquera pas de traverser bientôt l'opinion publique internationale.