Resultados narrador por "Patrick Blandin" en Todas las categorias

Comment un pauvre peintre raté, qui gagnait péniblement de quoi manger en vendant ses tableaux dans la rue, a-t-il pu prendre la tête d'une grande puissance européenne et galvaniser les foules jusqu'à l'impensable ? Comment a-t-il pu s'imposer à une élite politique cultivée jusqu'à transformer les détenteurs du pouvoir en brutes nazies ? De quelles armes celui qui n'était personne s'est-il servi pour devenir l'un des plus grands dictateurs de l'Histoire ?

La nouvelle se présente sous la forme d'un journal intime, tenu par le héros principal, Poprichtchine. Dans un premier temps, celui-ci décrit des épisodes de sa vie, de son travail ainsi que les diverses personnes qu'il côtoie. Puis il se met à confier les sentiments qu'il éprouve au sujet de la fille de son directeur. Des premiers signes de folie ne tardent pas à apparaître.

Un étudiant endetté voit les notables d'une petite ville l'accueillir avec tous les honneurs : il est pris pour un révizor, un haut fonctionnaire de l'État chargé d'une inspection. Le jeune homme profite de la méprise pour duper tout le monde. Sous le comique jubilatoire, perce un humour grinçant qui invite à une réflexion pas forcément drôle mais toujours aussi actuelle et universelle.

Jonathan Pollard est un citoyen américain condamné à perpétuité par les Etats-Unis pour espionnage au profit d'Israël. Jonathan Pollard a été condamné en 1987 à la prison à vie pour avoir fourni à Israël des milliers de documents classés secret défense entre mai 1984 et son arrestation, en novembre 1985, après qu'il eut été refoulé de l'ambassade d'Israël à Washington. La gravité de sa peine reste un sujet polémique, source de nombreuses tensions mettant en péril les relations américano-israéliennes.

Un explorateur de grande valeur, dont on ne connaîtra pas le nom, visite une île éloignée constituant la colonie pénitentiaire d'un pays puissant (on ne saura pas lequel). Il est invité à participer à une exécution publique. Celle-ci est effectuée par un appareil étrange développé par le défunt commandant de l'île.

Carnacki a accepté d'aller étudier un problème de maison hantée dans une demeure peu éloignée de Londres. Trois personnes y ont trouvé la mort un siècle et demi plus tôt, étranglées dans la chambre grise. Toutes les nuits, la porte de cette chambre, bien que fermée à clef, s'ouvre et se referme brutalement et on y ressent une présence hostile.

Découvrez comment cet agent méthodique et scrupuleux a démasqué au sein de la CIA un grand nombre d'agents doubles. Il fut démis de sa fonction de chef du contre-espionnage américain en 1974 pour avoir fait preuve d'excès de zèle. Son obsession à voir des agents doubles partout lui coûta son poste, sa paranoïa instaurant à la CIA un climat délétère nocif.

Voici les 5 nouvelles fantastiques les plus connues de HP Lovecraft : "L'Appel de Cthulhu", "La Quête onirique de Kadath l'inconnue", "L'Affaire Charles Dexter Ward", "Le Cauchemar d'Innsmouth", "Le Témoignage de Randolph Carter". Stephen King a dit de Lovecraft qu'il était "le plus grand artisan du récit classique d'horreur du vingtième siècle."

Échappé de Salem lors de la grande chasse aux sorciers du XVllle siècle, Joseph Curwen vint s'établir à Providence où il mourut en 1771. La découverte de sa tombe par son descendant, Charles Dexter Ward, va être le début d'un drame au cours duquel le jeune homme perdra l'esprit. HP Lovecraft est un écrivain américain connu pour ses récits fantastiques.

"Le Cauchemar d'Innsmouth" est une nouvelle d'horreur fantastique de HP Lovecraft. Le narrateur, Robert Olmstead, amateur de civilisation ancienne et venant de fêter sa majorité, entreprend un voyage à travers la Nouvelle-Angleterre afin d'en apprendre un peu plus sur ses origines. Arrivé à la gare de Newburyport, il découvre l'existence d'une ligne de bus passant par la mystérieuse et lugubre Innsmouth.

La Quête onirique de Kadath l'inconnue est une longue nouvelle fantastique de l'écrivain américain Howard Phillips Lovecraft. L'histoire : Randolph Carter rêve par trois fois d'une majestueuse cité au coucher de soleil, mais chaque fois il est brutalement arraché du rêve avant d'en voir plus. Aussi prie-t-il les dieux du rêve de lui révéler des alentours de cette ville fantastique.

Né esclave, Épictète devint l'un des plus grands philosophes stoïciens, et ses préceptes sont toujours appliqués aujourd'hui. Nous lui devons le stoïcisme, doctrine pensée pour éviter toutes les souffrances inutiles. Il n'y a que sur nos propres actions et attitudes que nous pouvons agir ; comme ce n'est pas parce que l'on s'inquiète beaucoup que les choses s'améliorent, il convient donc d'accueillir tout événement avec calme et sans passion.

L'homme est naturellement bon ; c'est la société qui le pervertit. On doit cette idée fondamentale à Jean-Jacques Rousseau, philosophe, initiateur du genre autobiographique avec les "Confessions", penseur politique, écrivain romantique, et même compositeur d'opéra ; une figure majeure de l'âge des Lumières.

Marc Aurèle est le dernier des "Cinq bons empereurs" de Rome ; son règne marque l'apogée de l'empire romain, qui ne sera jamais plus riche et pacifié qu'alors. Il partage avec l'esclave Épictète une place majeure dans la philosophie stoïcienne, et ses enseignements n'ont rien perdu de leur utilité aujourd'hui. Ses Méditations sont une série de notes écrites pour son propre usage, pendant une campagne militaire, et témoignent de sa quête de sagesse et de perfectionnement.

Immanuel Kant est une figure incontournable de la philosophie allemande. On lui doit une compréhension absolument nouvelle de la façon dont l'esprit façonne l'expérience. Kant constate qu'on ne peut jamais percevoir que des phénomènes, c'est-à-dire des perceptions déterminées par nos sens et nos structures mentales, et jamais la chose objective, l'événement en soi ; à partir de là, il s'attache à décrire les structures de l'esprit à l'origine de nos perceptions.

Philosophe danois, chrétien et séducteur, Søren Kierkegaard fut une influence majeure sur la théologie en même temps que sur la philosophie occidentale. Poète, mystique et mélancolique, Kierkegaard s'attache à penser ce que signifie être sujet de sa propre existence, les sentiments entraînés par nos choix de vie, et la relation que la foi donne avec Dieu. On lui doit une vision toute nouvelle des trois âges de la vie, et la pensée de l'absurde, de l'angoisse et du désespoir existentiel.

Lire Nietzsche, c'est apprendre à philosopher à coups de marteau. Dans les bibliothèques universitaires, ce sont les livres de Nietzsche qui sont les plus souvent volés. Pas étonnant : la rencontre avec Nietzsche fascine et apprend à penser, voire à se rebeller. Sa pensée est radicale, parfois violente, souvent ironique ; ses écrits sont à la frontière de la philosophie et de la poésie. Ses aphorismes en particulier véhiculent toute la force de sa pensée de façon directe, efficace, et souvent pleine d'humour.

Henry David Thoreau : auteur incontournable pour qui se pose la question de la vie juste. Poète et philosophe américain, partisan de l'abolition de l'esclavage, défenseur de la désobéissance civile face à un gouvernement corrompu, Thoreau est aussi précurseur du mouvement de la simplicité volontaire. "Walden ou la vie dans les bois" fut écrit dans une cabane qu'il avait lui-même construite au fond de la forêt, et où il redécouvrit la vie en communion avec la nature.

La philosophie d'Arthur Schopenhauer est sombre, pessimiste, parfois brutale, mais ne s'empêche pas de résonner d'un rire sarcastique. Dans son œuvre majeure, "le Monde comme Volonté et Représentation", Schopenhauer démontre que le libre-arbitre individuel est illusoire, sachant que la seule Volonté qui compte n'est que celle de l'espèce qui tend à se reproduire pour perdurer. Il développe cette position jusqu'au bout dans l'ironique Métaphysique de l'amour, pour en tirer des conclusions souvent hilarantes.

Pas de méthode scientifique moderne sans Sir Francis Bacon. Son œuvre s'inscrit dans le cadre de la révolution scientifique, qui prit son essor au XVIIe siècle en Angleterre et décida de toute l'évolution de la pensée philosophique et scientifique. C'est à lui que l'on doit l'idée d'une approche méthodique, fondée sur l'observation prudente des faits de la nature. Il fut le premier à défendre l'idée de l'empirisme comme base du travail scientifique, afin d'éviter la projection et les distorsions dues à une préférence pour l'une ou l'autre hypothèse.